La connexion s'opère en ssh sur la machine virtuelle :
...# ssh root@vpsnnnnnn.ovh.net
<mdp voir le fichier des mots de passe>
root@vpsnnnnnn:~# echo 'deb http://download.opensuse.org/repositories/isv:/ownCloud:/community/Debia... /' >> /etc/apt/sources.list.d/owncloud.list root@vpsnnnnnn:~# apt-get update root@vpsnnnnnn:~# apt-get install owncloud
L'installation par le paquetage est à 80 % correcte. C'est à dire que les fichiers sont installés dans /var/www/owncloud avec les permissons des répertoires /config et /data correctement allouées à www-data:www-data. Les autres répertoires restent avec root:root comme propriétaire.
Avant la configuration il faut créer une base de données dans le SGBD Mysql préalablement installé.
Nous appellerons cette base de données owncloud. Son propriétaire sera « oc_user » le mot de passe est le mot de passe usuel des bases de données. On utilisera PhpMyAdmin pour la créer.
Attention le fichier de configuration d'exemple est boggué. Il est conseillé de copier config.sample.php dans config.php. Mais il se révèle que ce dernier est boggué. Il faut retirer l'item «objectstore», pour que OwnCloud se comporte correctement.
Autant que possible laisser la webapps se charger de la configuration. On n'éditera le fichier config.php que lorsque les champs ne sont pas accessibles par l'interface visuelle.
On localise le site en renseignant l'item «default_language» avec 'fr'.
Pour personnaliser le site web à nos couleurs, toutes les ressources nécessaire à l'affichage sont dupliquées dans un répertoire situé sous le répertoire theme à la racine du site. Le nom de ce répertoire détermine le nom du thème.
Dans le fichier de configuration, il suffit de renseigner l'item «theme» du nom du thème (nom du répertoire contenant le thème). Pour revenir au défaut, il suffit de le laisser vide.
Si l'utilisateur n'a pas beaucoup de contacts, il est raisonnable de laisser la synchronisation s'opérer entre :
Il faudra veiller à configurer les périphériques pour que la synchronisation se fasse du périphérique vers le serveur.
c'est ce cas qui s'applique à des utilisateurs déjà synchronisés avec un cloud externe à l'entreprise.
Leur compte de messagerie ACC doit être déjà synchronisé. On procède à l'exportation des données du carnet d'adresse de Thunderbird en sélectionnant le bon carnet d'adresse, compte Google par exemple.
Attention, c'est l'exportation en format CSV (séparateur TAB) qui donne les meilleurs résultats.
Dans le cloud ACC, dans l'application Contacts, on clique dans la roue dentée pour accéder aux paramètres. Dans la rubrique exportation, sélectionner «CSV Thunderbird» et ouvrir le boite de dialogue des fichiers pour sélectionner le fichier CSV précédemment exporté.
Une barre de progression suit le chargement.
Sélectionner l'arborescence «ou=<organization unit>,o=<organization>,dc=com» et faire «export subtree». Le format qui donne le meilleur résultat est «vcard 2.1», ou à défaut le format «LDIF», ne pas utiliser le format CSV contrairement à Thunderbird.
Dans la webapps, importer en sélectionnant le format automatique, dans ce cas.